Article de Daniel Hofmann, Go 2 Flow AG
De SEO à GEO – pourquoi le référencement classique ne suffit plus
ChatGPT, Perplexity & consorts changent la manière dont les clients recherchent des informations. Découvrez comment rester visible grâce à la Generative Engine Optimization (GEO), lorsque l’intelligence artificielle parle de vos produits.
Les moteurs de recherche fournissent des listes. L’intelligence artificielle fournit des réponses. Et ce petit changement a d’immenses conséquences : si vous n’apparaissez pas dans ces réponses, vous n’existez plus pour l’utilisateur – peu importe la qualité de votre SEO.
Bienvenue à l’ère de la Generative Engine Optimization (GEO), la nouvelle discipline qui détermine votre visibilité dans la recherche alimentée par l’IA.
Qu’est-ce que la GEO ?
GEO signifie Generative Engine Optimization. Alors que le SEO vise à apparaître parmi les premiers résultats des moteurs de recherche classiques, la GEO consiste à optimiser votre présence afin d’être cité ou mentionné dans les réponses des systèmes d’intelligence artificielle comme ChatGPT, Perplexity ou Google Gemini.
En résumé :
- Le SEO mesure les clics et les classements.
- La GEO mesure les mentions et les citations dans les réponses générées par l’IA.
Pourquoi la GEO devient-elle essentielle ?
- Pour la première fois, Google passe sous la barre des 90 % de part de marché.
- 61 % de la génération Z utilise régulièrement des outils d’IA pour effectuer des recherches.
- Gartner prédit une baisse de 25 % des recherches classiques d’ici 2026.
Les marques qui misent aujourd’hui uniquement sur des stratégies de SEO perdent progressivement en visibilité. Et ce n’est pas parce qu’ils sont mauvais, mais parce qu’ils ne sont plus présents là où les recherches ont lieu.
Conclusion
La GEO ne remplace pas le SEO, mais ignorer la GEO, c’est perdre progressivement en portée.
L’IA décide quelles marques resteront visibles à l’avenir.
La clé réside dans la confiance, la structure et une véritable expertise, ainsi que dans la volonté de considérer les moteurs de recherche comme des interlocuteurs, et non pas comme un catalogue de mots-clés.