Mais arrêtez là à Berne !

Permettez-moi de m’exprimer. Il y a 3 ans où j’ai osé à dire à Bruxelles que l’appareil de la bureaucratie se peut justifier avec des nouvelles lois et c’est pour ça, que des nouvelles lois sont faites sans arrêt. Pour une entreprise PME dans l’UE c’est pratiquement impossible de s’imposer à toutes ces lois. Comme ça, cette désobéissance devient la norme. Ceci ne pas pour des aspects criminels, mais à cause de la misère. Un silence embarrassant et une demande des coupables de prouver cette affirmation en apportant des entreprises à Bruxelles, qui peuvent le prouver. Nous acceptons ces invitations et demandent des entreprises d’aller à Bruxelles, en espérant que ça en vaut la peine !

Etant suisse – ça m’inquiète :

Notre pays est sur la bonne voie de dominer la bureaucratie de l ‘UE.  De nouvelles consultations sur des lois incroyables nous occupons – régi par un mix toxique de la protection des consommateurs, une idéologie gauche, des personnalités politiques prêts au compromis et les partis droites, le nombre des consultations augmente avec le but d’accroitre le contrôle, des preuves et des exigences plus hautes que dans l’UE. Nous – ça veut dire nos représentants de la confédération, creusent des fossés de lois où le marché suisse va tomber dedans. Mais on ne sait jamais, les paysans arrivent peut être avec la Migros et la Coop à créer « un mur des aliments » sur la Suisse et de célébrer l’autosuffisance.

Eh bien, je me demande parfois si les gens savent qu’est ce qui se passe dans le monde et ce que les gens (dans ce cas les consommateurs) pensent. Ces mesures ont une chose en commun : ils mettaient en péri le marché suisse. Et oui, ils forcent la désobéissance des entreprises PME, lorsque ce n’est plus possible de respecter toutes ces lois imposées. Une culture suisse qui m’est étrange, mais à la quelle il faut s’habituer.

Pour préciser cette histoire : la conséquence de cette désobéissance sont plus de lois = plus de contrôle, plus de fonctionnaires et plus d’avocats.

Alors je me demande si Madame et Monsieur Suisse méritent des lois nouvelles ? Et je pense que non. Je crois, que nous méritons quelque chose différent, ce que nous a caractérisé dans les années passées : la confiance en combinaison avec la responsabilité individuelle. Ça me fait du mal que nous foulons cette base de confiance aux pieds et que la responsabilité individuelle subi une mutation de paternalisme. Nous avons eu une Suisse, à la quelle j’aimais bien fait rappel – mais actuellement j’en ai des difficultés. Malheureusement.

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